Encadrés par leurs ravisseurs, trébuchant dans la neige, les moines s’enfoncent dans la blancheur jusqu’à disparaître. Pas de musique alors. Rien que le silence. Et puis les psaumes chantés a capella reprennent tandis que le générique de fin défile. Arrivé à la dernière ligne, le cri d’un enfant retentit, Bismillah ! Au nom de Dieu. Alors l’écran s’éteint. Ce tout petit détail passe inaperçu, et pourtant, il est là, apportant sa force, comme l’ultime signature de ce film parfait. ☞ lire la suite.