La Commission Européenne a enfin dévoilé ce jour, par la voie du commissaire Vytenis Andriukaitis, la définitions des critères des perturbateurs endocriniens (PE). Alors que nous connaissons depuis les années 1970, leur effet effroyable sur la santé des êtres vivants (hommes et animaux) et sur le devenir de notre espèce (problème de fertilité et dégénérescence), le résultat est très décevant. Encore une fois, les lobbies ont gagné (cf à ce propos la chronique que j’ai signé sur le livre de Stéphane Horel publiée sur le site des JNE). Et c’est désespérant. ☞ lire la suite