Mi-septembre, le niveau de la rivière Indre a baissé de 60 centimètres en 48 heures — un phénomène rarissime dû à l’extrême sécheresse. 2.500 km de rivières sont quasiment à sec. Et même si la pluie est de retour, la situation reste grave : « C’est toute la biologie de la rivière qui est en train de s’effondrer. » Je suis allée à Châteauroux, à la rencontre de Christian Toussaint, responsable eau et milieux aquatiques à l’association Indre Nature. J’ai également interviewé Florence Habets, hydroclimatologue, directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et professeure attachée à l’École Normale Supérieure (ENS). Mon article est paru aujourd’hui dans Reporterre. Je vous invite à le lire ☞ ici
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