C’est une histoire à la fois merveilleuse et désespérante, merveilleuse parce que deux hommes ont eu cette idée absurde de teindre des rayures noires sur des ânes blancs juste pour que les enfants retrouvent leurs zèbres, désespérante parce que cela se passe à Gaza où toute tentative de joie ne dure qu’un instant. ☞ suite