J’ai gardé le silence sur Copenhague car je n’avais rien à dire. Je fais partie de ceux qui pensent que, face à l’état du monde, il n’y a pas matière à négociation. Il faut agir. Je redoutais de mauvais accords avec moult auto-congratulations qui auraient été pire que ce résultat lamentable mais clair. Une impasse, c’est toujours une étape importante. Elle oblige à stopper, réfléchir et prendre des décisions, reconnaître aussi qu’on a fait fausse route. Bien, et après avoir constaté cela, que faire? ☞ suite