Je me suis vraiment régalée en lisant ce livre. Christine Laurent tient chronique sur le site de Reporterre sous ce même titre. On pourrait penser qu’elle a rassemblé ses articles pour en faire un livre mais pas du tout. Ici, elle raconte toute l’histoire. «.Depuis sept ans, le samedi, nous mettons les vélos dans le RER, laissons la ville se déliter dans le bruit métallique du train jusqu’à la frontière de l’urbanisation… Et là, en lisière de forêt, entre paddock pour les chevaux et tennis abandonné, nous prenons soin de 400 m2 de terre en ayant recours, autant que nous le pouvons aux moyens du bord. » Ce sont les premières phrases du livre. Vous avez noté le « nous prenons soin ». Le ton est donné.
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