Le peintre Di Rosa rêvait de voyager depuis qu’il était tout petit mais il ne s’imaginait ni dans la peau d’un touriste, ni dans celle d’un peintre voyageur à la Delacroix. Au début des années 1990, il trouve l’angle : aller à la découverte de savoir-faire d’autres cultures.
J’ai toujours beaucoup aimé ce peintre globe-trotteur, fondateur du MIAM (Musée des Arts modestes) à Sète et récemment élu à l’Académie des Beaux-Arts. Ce pionnier de la figuration libre fait une escale au centre Georges Pompidou jusqu’au 26 août pour une mini rétrospective haute en couleur, «Dirosienne » par excellence mais, hélas, bien trop courte puisqu’elle ne présente qu’une trentaine d’œuvres.