Certains animaux sauvages subissent des phases d’abattage massif de la part des autorités. Le plus souvent sans discernement sinon pour complaire à des intérêts particuliers, explique Farid Benhammou, géographe, auteur d’une tribune publiée par Reporterre. Ces gestions par la tuerie s’appuient sur une négligence voire un mépris de la recherche et des connaissances scientifiques. Selon lui, « réflexion et matière grise pourraient permettre d’éviter une violence inutile ».
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